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Benzema affiche de la crainte sur son avenir professionnel #sextape #Valbuena


Article paru dans Le Parisien le 2 décembre 2015, par Sylvie de Macedo.

Dans la foulée de l’intervention de Karim Benzema sur TF1, nous avons demandé à Stephen Bunard, conférencier et expert en langage corporel de décrypter les attitudes de l’international français, mis en examen dans l’affaire du chantage à la sex-tape exercé sur Mathieu Valbuena.

« On peut lire beaucoup de choses dans cette interview. Rien que cela, c'est déjà intéressant. Cela montre qu'à l'inverse d'une homme politique par exemple, il n'est pas rompu à ce genre d'exercices. »

L’expert, auteur de l’ouvrage «Leurs gestes disent tout haut ce qu’ils pensent tout bas» tire trois conclusions de cet entretien d’une durée de 7 minutes.

1- Il craint pour son avenir

«Tout d’abord, il a des craintes pour son avenir. La machine s’est emballée et on voit clairement sa peur des conséquences. Lorsqu’il dit, «j’espère que ça va bien se terminer», il bascule la tête à droite et vers l’avant. C’est une attitude que l’on prend lorsqu’on est dans un état craintif. D’autres signes le montrent dans la foulée : sa lèvre inférieure rentre dans sa bouche, il sort un peu sa langue, ou encore il fait une moue un peu dubitative lors de ce passage. Bref, il a peur.»

2- De la sincérité lorsqu’il parle de Valbuena

«Lorsqu’il évoque Valbuena et l’affaire, je vois plutôt de la sincérité. Par exemple, quand il évoque la conversation téléphonique avec son ami, sur le fait qu’ils aient rigolé, déconné, sur la partie gauche de son visage, Benzema retrousse légèrement son nez. C’est une marque de dégoût envers lui-même, comme s’il faisait amende honorable et qu’il avait conscience qu’il était trop loin lors de cet échange avec son ami.»

3- Il est éprouvé par cette mise en examen

«A trois reprises au moins, il a beaucoup bougé sur sa chaise, au point de sortir du cadre de la caméra. Notamment lorsqu’il dit «ça me rend fou» ou quand il évoque sa mise en examen ou son entourage. Son corps se contrôle très peu. Il n’est pas dans la maîtrise de soi. Or, souvent, quelqu’un qui aurait quelque chose à se reprocher, tenterait plutôt de se contrôler devant la caméra. Là, il n’y a aucune vigilance de sa part. C’est la preuve qu’il est éprouvé par cette mise en examen.»

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